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– Chroniques –

  • L’Allemagne célèbre sa journée de deuil national
    Afin d’honorer la mémoire des victimes de la 1e Guerre mondiale et faire preuve de solidarité envers les survivants, le Volksbund a institué, dès 1919, une « journée de deuil national » (Volkstrauertag). Depuis 1995, ces commémorations sont organisées avec le soutien de la Bundeswehr et du bataillon de la garde (Wachbataillon), héritier des traditions du 9e régiment d’infanterie de Potsdam dont 19 officiers prirent part à l’attentat contre Hitler en 1944. Le 15 décembre 1943, sur ordre d’Hitler, une barre métal-lique munie de cinq crochets de boucher est installée dans la chambre d’exécution pour les pendaisons. Plus tard, ce sont huit crochets qui seront utilisés pour augmenter leur nombre. Les premiers pendus sont les membres de l' »Orchestre rouge » le 22 décembre, dont Harro Schulze-Boysen et Arvid Harnack. Une partie des conspirateurs du 20 juillet 1944 a été pendue avec des cordes de piano. 245 Français, pour la plupart des résistants, ont été pendus à la prison de Plötzensee entre 1940 et 1945.
  • Deutschland: Tag der Erinnerung Volkstrauertag 2023
    Um das Andenken an die Opfer des Ersten Weltkriegs zu ehren und Solidarität mit den Überlebenden zu zeigen, führte der Volksbund Deutsche Kriegsgräberfürsorge bereits 1919 einen « Volkstrauertag » ein. Seit 1995 werden diese Gedenkfeiern mit Unter-stützung der Bundeswehr und des Wachbataillons organisiert, das die Traditionen des Potsdamer Infanterieregiments Nr. 9 übernommen hat, von dem 19 Offiziere am Attentat auf Hitler im Jahr 1944 teilnahmen. Am 15. Dezember 1943 wurde in Plötzensee auf Anweisung Hitlers eine Metallstange mit fünf Fleischerhaken in der Hinrichtungskammer angebracht, die für die Erhängungen verwendet wurden. Später sind es acht Haken, mit denen die Schlagzahl erhöht wird. Die ersten Gehängten sind die Mitglieder des « Roten Orchesters ». Ein Teil der Verschwörer vom 20. Juli 1944 wurde mit Klaviersaiten gehängt. 245 Franzosen, meist Widerstandskämpfer, werden in dem Gefängnis Plötzensee zwischen 1940 und 1945 gehängt.
  • Il faut reconnaître sa propre histoire et sa propre culpabilité
    Lors de la commémoration du Jour de deuil national au Bundestag (Volkstrauertag) en présence de SAR la princesse Victoria de Suède et du président de RFA, Frank-Walter Steinmeier et devant 1200 invités, le général Wolfgang Schneiderhan, président du Volks-bund, Deutsche Kriegsgräberfürsorge e.V, organisation humani-taire allemande vieille de plus d’un siècle, chargée de donner et d’entretenir les sépultures de tous les soldats allemands, dans 46 pays du monde, a rendu hommage aux victimes des deux Guerres Mondiales qui,« ensemble, ont coûté la vie à plus de 80 millions de personnes, autant que la population totale de l’actuelle RFA » avant de citer en exemple « la Suède, pays sur le quel on sait toujours pouvoir compter pour la paix et la démocratie… La guerre et la dictature sont liées. A l’inverse, cela signifie que la paix a besoin de la démocratie … Le souvenir des morts des deux guerres mondiales est en même temps et toujours un appel à la paix, à la tolérance, à la démocratie, à la communauté et à la solidarité.»
  • Mémoire d’un jour ou jour de mémoire ?
    L’histoire de la France contemporaine ne se limite pas à trois dates : le 14 juillet — jour de la fête nationale, le 11 novembre — jour où fut signé l’armistice de 1918 qui mit fin aux combats de la Première Guerre mondiale (1914-1918) — et le 8 mai 1945 — jour de la capitulation sans condition de l’Allemagne nazie — trois dates « inscrites dans le marbre ». Trois jours qui ont en commun de rassembler les Français autour de leur armée pour honorer la mémoire de nos anciens tombés au champ d’honneur. Trois jours célébrés aux côtés de nos plus fidèles alliés rejoints par la République fédérale d’Allemagne, qui a succédé à l’empire allemand, notre ennemi d’hier. Trois grandes célébrations organisées chaque année autour de l’Arc de triomphe — mais aussi à Berlin — par nos compatriotes expatriés autour des missions militaires françaises et alliées et de nos associations patriotiques qui gardent fidèlement cette mémoire.
  • Erinnerung für einen Tag oder Tag der Erinnerung?
    Um das Andenken an die Opfer des Ersten Weltkriegs zu ehren und Solidarität mit den Überlebenden zu zeigen, führte der Volks-bund Deutsche Kriegsgräber-fürsorge bereits 1919 einen « Volks-trauertag » ein. Seit 1995 werden diese Gedenkfeiern mit Unter-stützung der Bundeswehr und des Wachbataillons organisiert, das die Traditionen des Potsdamer Infanterieregiments Nr. 9 über-nommen hat, von dem 19 Offiziere am Attentat auf Hitler im Jahr 1944 teil-nahmen. Am 15. Dezember 1943 wurde in Plötzensee auf Anweisung Hitlers eine Metallstange mit fünf Fleischerhaken in der Hinrichtungskammer angebracht, die für die Erhängungen verwendet wurden. Später sind es acht Haken, mit denen die Schlagzahl erhöht wird. Die ersten Gehängten sind die Mitglieder des Roten Orchesters. Ein Teil der Verschwörer vom 20. Juli 1944 wurde mit Klaviersaiten gehängt. 245 Franzosen, meist Wider-standskämpfer, werden zwischen 1940 und
  • Français et Allemands : un devoir de mémoire partagé
    En août 1813, Napoléon déclenche une offensive générale pour prendre Berlin. A Jüterbog, située à 70 km au sud, les troupes prussiennes, russes et suédoises opèrent leur jonction et stoppent la progression vers Berlin de l’armée française à qui l’armée du Nord va imposer une défaite sans appel. De très nombreux blessés vont décéder faute de soins adaptés. Pour éviter une épidémie, leurs corps ont été regroupés et enterrés dans une fosse commune sur un terrain qui est devenu « le cimetière des Français » à Jüterbog. En 1883, l’État français fera ériger en leur mémoire un premier monument et un second en l’honneur des prisonniers de guerre français décédés à l’hôpital militaire pendant leur captivité en Allemagne en 1813. Ces deux monuments ont été restaurés par Jüterbog et la région.
  • Deutsche und Franzosen: eine gemeinsame Erinnerungspflicht
    Im August 1813 startete Napoleon eine Generaloffensive, um Berlin einzunehmen. In Jüterbog, 70 km südlich von Berlin, vereinigten sich preußische, russische und schwedische Truppen und stoppten den Vormarsch der französischen Armee auf Berlin, der die Nordarmee eine vernichtende Niederlage zufügte. Viele Verwundete starben, weil sie nicht ausreichend versorgt wurden. Um eine Epidemie zu verhindern, wurden ihre Leichen zusammengelegt und in einem Massengrab auf einem Gelände beigesetzt, das zum « Friedhof der Franzosen » in Jüterbog wurde. 1883 ließ der französische Staat zu ihrem Gedenken ein erstes Denkmal errichten und ein zweites zu Ehren der französischen Kriegsgefangenen, die während ihrer Gefangenschaft in Deutschland 1813 im Lazarett verstorben waren. Diese beiden Denkmäler wurden von Jüterbog und der Region restauriert.
  • Es lebe die deutsch-französische Freundschaft !
    Transkription der Rede von Herrn François Delattre, Botschafter Frankreichs in Deutschland, anlässlich des traditionellen « Festes der deutsch-französischen Freundschaft », das am 13. Juli in Berlin im Kasino « Sergent Brocard » stattgefunden hat. Der Botschafter wurde von Xavier Doucet, dem Vorsitzenden der UFE Berlin, begrüßt und tauschte sich viel mit den französischen, französischsprachigen und deutschen Teilnehmern aus. Die Welt ändert sich, nicht aber die Aufgaben eines französischen Botschafters, insbesondere in einem der für Frankreich wichtigsten Länder. François Delattre liefert uns hier drei Botschaften, indem er uns an seiner Vision der deutsch-französischen Beziehungen teilhaben lässt.
  • Vive l’amitié franco-allemande!
    Transcription de l’allocution de S.Exc. M. François Delattre, Ambassadeur de France en Allemagne lors de la traditionnelle « fête de l’amitié franco-allemande » qui s’est tenue à Berlin le 13 juillet au mess « Sergent Brocard ». Accueilli par Xavier Doucet, président de l’UFE Berlin, l’ambassadeur a beaucoup échangé avec les participants français, francophones et allemands. Le monde change mais pas les missions d’un ambassadeur de France, particulièrement dans l’un des pays les plus importants pour la France. François Delattre nous livre ici trois messages en nous faisant partager sa vision de la relation franco-allemande.
  • L’UFE-Berlin : entre mémoire et tradition
    A l’étranger, il y a deux associations patriotiques : le Souvenir Français, Gardien de notre mémoire » (1887) et l’Union des Français de l’étranger (1927). Pour la première fois depuis le départ des Forces Françaises de Berlin (1994) l’ambassadeur de France en Allemagne, François Delattre a été l’invité d’honneur de l’UFE Berlin. Xavier Doucet, président de l’UFE-Berlin, répond ici aux propos de François Delattre, qui, après avoir accordé son patronage à la traditionnelle « fête franco-allemande » est venu partager ce moment de convivialité avec des compatriotes lors de la traditionnelle fête franco-allemande qui précède le 14 juillet.

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